Madame Jacqueline Bassolet
« C'est fini la charité, il faut apprendre aux femmes de travailler »
La fondatrice, feue Madame Jacqueline Bassolet, était du village de Sebouhn à Réo et elle s'est mariée à un homme de la famille royale de Réo. Pendant toute sa vie elle a lutté pour la promotion des droits de la femme et en les encourageant à prendre en main leurs autonomisations , même si la majorité des opinions divergent sur cette question d'autonomisation . Elle a commencé sa vie professionnelle comme infermière de soins avant qu'elle ne soit administrateur au commissariat de la province du Sanguie, stationné à Ouagadougou. C'est à Ouagadougou, qu'elle s'est réuni avec ses commrades de Réo qui partageaient la même vision. C 'est dans ce sens qu'elle et ses camarades ont décidé de revenir à Réo pour la création d'une association pour le bien être socio économique des femmes. Donc, en 1978 feue Madame Jacqueline Bassolet et ses camarades ont créé l'UGF / CDN.
Le slogan de feue Madame Jacqueline Bassolet était de « bâtir la solidarité entre les femmes pour mieux planifier le développement » et a tout moment quand elle disait ca, elle ajoutait en lyélé « Ce-na yi neban ! », ce qui veut dire « rendons grâce à dieu pour tout ce qu’il fait chaque jour pour nous ».
Au début, sa lutte pour les droits des femmes était difficile. Les gens disaient qu’elle gâte les femmes. Mais petit à petit, les gens se sont adhérées a ses idées. Enfin, sa cause et son succès étaient reconnus et elle à bénéficié de plusieurs prix. Elle a été nominée par le premier ministre du Burkina Faso avec agrafe développement local, elle a été décorée par l’UEMOA, elle été chevalier de l’ordre nationale et elle a été aussi décorée par le chef de l’Etat Burkinabé.
Dans les mots de Bahiomé, le coordinateur d'UGF / CDN:
« Elle était une grande dame, elle fut une grande dame battante et elle ne se laissait pas faire ».
« C'est fini la charité, il faut apprendre aux femmes de travailler »
La fondatrice, feue Madame Jacqueline Bassolet, était du village de Sebouhn à Réo et elle s'est mariée à un homme de la famille royale de Réo. Pendant toute sa vie elle a lutté pour la promotion des droits de la femme et en les encourageant à prendre en main leurs autonomisations , même si la majorité des opinions divergent sur cette question d'autonomisation . Elle a commencé sa vie professionnelle comme infermière de soins avant qu'elle ne soit administrateur au commissariat de la province du Sanguie, stationné à Ouagadougou. C'est à Ouagadougou, qu'elle s'est réuni avec ses commrades de Réo qui partageaient la même vision. C 'est dans ce sens qu'elle et ses camarades ont décidé de revenir à Réo pour la création d'une association pour le bien être socio économique des femmes. Donc, en 1978 feue Madame Jacqueline Bassolet et ses camarades ont créé l'UGF / CDN.
Le slogan de feue Madame Jacqueline Bassolet était de « bâtir la solidarité entre les femmes pour mieux planifier le développement » et a tout moment quand elle disait ca, elle ajoutait en lyélé « Ce-na yi neban ! », ce qui veut dire « rendons grâce à dieu pour tout ce qu’il fait chaque jour pour nous ».
Au début, sa lutte pour les droits des femmes était difficile. Les gens disaient qu’elle gâte les femmes. Mais petit à petit, les gens se sont adhérées a ses idées. Enfin, sa cause et son succès étaient reconnus et elle à bénéficié de plusieurs prix. Elle a été nominée par le premier ministre du Burkina Faso avec agrafe développement local, elle a été décorée par l’UEMOA, elle été chevalier de l’ordre nationale et elle a été aussi décorée par le chef de l’Etat Burkinabé.
Dans les mots de Bahiomé, le coordinateur d'UGF / CDN:
« Elle était une grande dame, elle fut une grande dame battante et elle ne se laissait pas faire ».